« Un vertige puis un silence, »

Un soir d’hiver,
Alors que mon cœur était déjà à terre,
Le vent m'a soufflé un air…

Entraînée par cette prière,
Je ne pus me délivrer de ses chaînes.
Cette mélodie fut mes nuits,
Et parfois, oui, elle hantait mes rêves.

Je ne suis pas faible…
C’est juste que j’ai été prise au piège…
Je n’ai pas cherché à m’envoler… j’étais fatiguée
Et effrayée
Je n’ai pas cherché à comprendre ce que cela pouvais signifier,
J’avais juste besoin que l’on me raconte l’histoire d’une fée…

J’avais appris à la haïr, si bien que je l’aimais,
D’un autre regard ,je l’apercevais
Du coin de mon âme et de mon cœur,
Je sentais la cadence me brûler,
Sans ne jamais rien dire, sans ne jamais crier,
Sans ne jamais pleurer, sans ne jamais me venger,
Je suis restée silencieuse face à la souffrance qui hantait,
Devant l’avenir qu’il m’avait réservé…

Il neigeait si souvent
Que je n’ai pas eu l’impression d’avoir connu
D’autre saison.
J’avais si froid, dans ce rêve glacial.
Et je perdais mes raisons,
Si bien que le cœur,
Pour ne pas les oublier les récitais par cœur.

Des lors que je l’entendis,
Je fus prise d’un vertige,
A cet instant, ma larme me trahit…
Sans tous ces souvenirs,
Je me croyais libre,
Après toutes ces années je dirais même invincible,
Mais même au plus haut, au plus profond du ciel, elle me poursuit…
Ma larme et l’état de mon cœur sont des alibis,
Ma souffrance est donc une preuve à l’appui.

Je suis ce nouveau regard, perdu et peut être même blasé,
D’un avenir qui n’aurait pas dut lui être destiné…

                                                                                             Seyu.

De la souffrance aux larmes, je n’ai fais qu’un pas.

Ce n’étais pas une longue route, ni même un bref retour

Mais j’ai pressentie le besoin de partir,

Et puis qui sait, peut- être même l’envie mourir.

Du mal être aux larmes, je suis restée assise,

Toujours là et sans ne jamais rien dire.

Je suis restée ici,

Sans que l’on ne remarque quoi que se soit,

…Sans que l’on aperçoit que derrière ce sourire

Ce cachait la souffrance d’un passé

Et sûrement des jours à venir.

Du rire aux larmes, il n’y a qu’une seconde qui s’est écoulé,

Et de vous à moi, il y a bien trop de peine qui nous a séparés.

Je veux étinceler ce mal en un bonheur de cristal

Je veux changer ces larmes en de toute petite étoile.

Je veux stopper ces cris et ces pleures qui entravent mon bonheur,

Je veux mourir pour ne plus souffrir…

I

Il paraitrait que ma larme est un héritage,

IL semblerait même que celle-ci soit la plus sage

Mais elle n’empêche pas la souffrance,

Malgré ma résistance, celle-ci m’a plongé dans l’errance,

Et je n’ai personne à qui le dire, ni même un regard pour me soutenir.

La solitude est devenue  ma pire ennemie

Et c'est dans c'est moments là,

Aussi regrettables qu'ils le sont, que je désir partir…

                                                                                                                 Seyu.

J’ai découvert un endroit,

Qui fait maintenant partis de moi…

Le plus bel endroit et au loin là-bas,

J’y ais entendus une voix.

La beauté des oiseaux et le chant de l’eau

Ont effleuré mon âme et je ne trouve rien de plus beau

Que d’y entendre le vol de l’amour et la sureté de ce calme.

Là où régnait la beauté, j’y aie sentis une once de douleur,

Sous le regard éméché de la lune et des fleurs.

Sous tes baisés d’amour et tes mots doux,

Des pétales de bonheur ont entravés ma route et m’ont demandé ce qu’étais « l’amour »…

A l’instar de leur avouer qu’il n’y a pas de véritable amour…

Meme si celui-ci nous mentent en passant toutes les heures.

Je n’ai pas pus répondre,

Car je n’ai sue que verser ma douleur…

La couleur du ciel ressemblait

A l’amertume et la souffrance de la mer,

Et face à cette atmosphère,

Ma larme a attristé l’envers de ma nouvelle terre.

Cette voix est le reflet de mon regret…

…Oui, je n’aurais jamais dut m’éprendre de toi comme si cela était inévitable…

Mais que s’est-il passé ?

Seule, il m’arrive encore parfois,

De penser à toi et de t’aimer tous bas…

L’immortalité de tes baisés

M’a assassiné…

Quoi donc de plus frustrant que de t’avoir aimé

Et d’être celle qui est condamnée…

Je t’ai aimé et je suis donc dans l’oublie désormais,

Ton amour m’a piégé et mon cœur est d’une naïveté,

Mais tes baisés et tes mots m’ont ensorcelés…

Comment aurais-je pus faire, dis moi, pour le deviner ?...

                                                                                                                                                                                                                              Seyu.

                                                   

                                                   J'ai tenté de changer ma vie,

J'aurai aimé y parvenir...

Mais

Je n'ai fait

Que de la rendre

  Plus

Pathétique.

Parmi les étoiles,

Je ne vois plus ton regard,

Mais,

Quelques mots brisés

Vol

Toujours

En ton égard.

Chaque jour,

Et

Chaque nuit,

Je ne cesse

De

Penser à toi...

Quelques larmes

Des fois,

Mais,

Ne t'en fais pas,

Je m'éprendrais à survivre

Et

A rêver pour

Toi...

Dans ce silence pesant,

Je tente de sourire,

Mais en vain,

La seule chose que je puis,

Est de survivre,

Afin

De continuer à te faire vivre...

N'en veut pas

A

Ma faiblesse,

Tout comme j'essaye

De ne pas en vouloir

A la vie

De

T'avoir pris...

Nous essayons tous

De Faire de notre mieux,

J'essayerai cette foi ci,

D'y parvenir...   

                                                                                                                    Seyu.